La 3G, la 4G, la 5G, vous me répondrez et oui encore plus de débit, d’accord mais à part ça ???
Et oui à part ça beaucoup de choses :
- La rapidité en première oui car la 5G c’est la fibre sans Fil, des débits de 10 Gbit/s contre 100 Mb/s aujourd’hui.
- La latence qui permet des échanges entre appareils beaucoup plus rapide et en simultané contrairement à la 4G.
- La connectivité massive : Cela veut simplement dire que beaucoup d’utilisateurs pourront être connectés en simultanés sans que votre vitesse de connexion s’en ressente. Si vous avez assisté à un événement sportif dans un stade, vous connaissez l’impact de cette connectivité massive sur la lenteur d’un réseau cellulaire
- Les objets connectés : Tous vos objets du quotidien vont pouvoir être connectés simplement & à moindre coût au réseau. C’est l’explosion des volumes de données transmises ! Concrètement, c’est, entre autres, votre voiture, l’éclairage public, les transports en commun, les dispositifs médicaux, les systèmes de sécurités qui vont être connectés au réseau et partager des informations.
- Plus économe et écologique : La 5G est plus efficiente c’est à dire plus efficace en termes de performance tout en consommant moins d’énergie. L’impact sur l’autonomie des batteries sera significatif.
Qui en bénéficiera ? TOUT LE MONDE, la santé pourra soigné à distance grace aux connexions exceptionnellement rapide, les médias, les transports, la sécurités publique, l’industrie…
Et les risques avec les ondes ? Aucun problème l’ANFR en Avril 2019 à remis son rapport avec plus de 3000 mesures et a constaté que les niveaux d’exposition du public aux ondes sont globalement nettement inférieurs aux limites réglementaires en vigueur — limites qui sont elles-mêmes cinquante fois plus basses que les seuils à partir desquels les expérimentations scientifiques ont noté un risque. Donc tout va bien, nous pouvons être rassurés.
Quelles fréquences ?
Il est prévu de dégager au profit de la 5G des fréquences situées pratiquement sur tout le long du spectre radioélectrique. L’Agence nationale des fréquences (ANFR) précise qu’elles peuvent être classées en deux grandes catégories. Les fréquences dites « basses » ont une large couverture et une bonne propagation à l’intérieur des bâtiments. Quant aux fréquences dites « hautes », elles ont une forte capacité, mais une propagation limitée dans les bâtiments.
Ceci étant dit, la stratégie consiste à utiliser à la fois de nouvelles fréquences dans la bande du spectre radioélectrique, mais aussi celles déjà attribuées pour faire passer des données en 2G, 3G et 4G. Pour l’heure, deux nouveaux blocs seront utilisés pour la 5G : celui de la bande 3,5 GHz (3,4 – 3,8 GHz) et celle, plus haute, de la bande 26 GHz(24,25 ‑ 27,5 GHz). Cette dernière appartient à la catégorie des ondes millimétriques (voir ci-après)
Pour quand ? Normalement nous devrions avoir d’ici fin 2019 les premières antenne compatibles. Les téléphones étant déjà disponibles.
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